L'histoire se passe en 3150. Le peule Terrien subit le joug des Cranosto, terribles habitants de la planète Cranos. Cette civilisation ne vit que pour la guerre, la mort, le sang et la domination. Cela fait maintenant 2 siècle qu'ils sont arrives sur Terre et qu'ils ont réduits à l'esclavage la planète. Cependant, une rumheur circule, comme quoi un jeune lieutenant Européen en aurait eut assez de cette oppression, et il aurait organisé sa rébellion : le GHL (Groupement des Hommes Libres). Au début, les Cranosto méprisèrent cette rébellion, et ce fut là leure plus grande erreur; Et bien oui, en 10 ans seulements, le GHL a réusit à libérer 150 villes, toutes stratégiques, de l'envahisseur. A ce moment à, ce fut une véritable lueure d'epoir pour tout les Terriens. Enfin quelqu'un pour les sauver !!!
Quelques mois plus tard, les Rebelles interceptèrent un message étrange :
Μήνυμα του πλανήτη Antropos στην αποικία αριθμός 756 320
612315017538000135000062359591
Ils eurent besoin de 2 mois pour comprendre l'ensemble du message.
Une fois la traduction effectué, Winston, bras droit de lieutenant Tomson (Chef du GHL), fut horrifié.
"Lieutenant, nous venons de finir la traduction!"
"Bien! Et que dit-elle ?"
"Vous feriez mieux de la lire par vous même"
Tomson commença sa lecture, et une fois le message terminé, celui-ci s'écria:
"Code Rouge! Je répète Code rouge!"
Personne, mise à part notre héros et son bras droit, ne savait ce qui se passé exactement.
A ce moment là, un soldat de la Garde remarqua que le lieutenant avait laissé échapper le papier, et voici ce qu'il y aperçut :
"Message de la planète Antropos à la colonie numéro 756 320 :
Le 6 décembre 3150, à 17 heures 53, une flotte de 8000 vaisseaux livrera 1 350 000 unités fraîches. Vous aurez alors 6 jours, 23 heures, 59 minutes et 59 secondes pour exterminer toutes formes de vie sur Terre. Si vous échouez, le grand 1 sera votre punition."
Le Garde comprit alors la terreur de son chef. Cependant, une chose resta obscure pour lui: qu'est ce que le grand 1?
Pendant ce temps, Tomson réunissait tout ses capitaines, et les mit au courant de la situation. Un silence glacial suivit la nouvelle. Au bout de longues secondes, Winston prit enfin la parole :
"Chèrs amis, nous n'avons plus que 3 mois, 12 heures et 55 minutes pour trouver une solution rapide et efficace. Nous attendons de chacun d'entre vous une implication énorme, quitte à ne dormir que 3 heures par nuit. Il faut que la situation reste entre nous pour ne pas affoler la population. Prochaine réunion dans 6 heures. "Bonne chance à nous tous." Sur ce, tout les officiers sortirent de la pièce.
"Vous ne venez pas, Lieutenant?" demanda Winston.
"Non, part devant je te rejoints."
"Bien" ,Et il sortit.
3 mois plus tard, à 12 heures 55 minutes de l'heure fatidique, le lieutenant intercepta un Garde et lui demanda
"Tout est près ?"
"Affirmatif, mon lieutenant!"
"Bien, très bien. Va te reposer un moment et dit la même chose à tous ceux que tu vois. Rendez vous dans 6 heures et 5 minutes pour le lancement de l'opération Dernière chance."
Il abandonna le Garde et partit sur la zone 31, la piste d'envole des flottes Rebelles.
C'était une salle immense, enfouie à 3 kilométres sous la surface de la terre. Au sommet du Trou, on pouvait apercevoir le ciel et l'espace. Devant Tomson se tenait 5 000 Pilotes, les meilleurs, et surtout les plus courageux. Il s'avança vers eux et commença à leur parler trés solennellement :
"Soldats, vous connaissez tous la situation dans laquelle nous nous trouvons. J'espère avant tout que vous avez bien conscience que la mission pour laquelle vous partez sera peut être votre dérnière .Si ce n'est pas le cas, vous pouvez encore renoncer et personne ne vous traitera de lâche. C'est une mission trop importante pour que ceux qui ont peur y participent. Si c'est le cas, on vous traitera sûrement de fous, mais moi, je vous traiterais en héros! Peu de gens auraient eux votre courage. Bonne chance à tous. Si jamais vous vous en sortez, rendez-vous sur la zone 1."
"Aye que tous ces trata Lieutenant !" (cri de guerre qui signifie "Que pourrissent tout ces rats Lieutenant")
Et chacun des Pilotes monta à bord de son croisseurs. Après un dernier salut de Tomson, le Responsable fit signe au Pilotes de décoller.
"Dommage, nous allons perdre 5 000 de nos plus valeureux Pilotes"
"Tu as raison Winston. Mais dépéchons nous, il ne reste plus trés longtemps".
Les deux hommes s'avançèrent alors vers le fond de la piste d'envole. Devant eux se dressait une flotte comprenant 2 000 vaisseaux de batailles capables de transporter 150 000 hommes, et plusieures tonnes de nourritures, draps, habits et autres. A côté des vaisseaux se tenaient debout 125 000 rebelles, qui ne comprenaient pas ce qui se passaient. Tomson commença alors un discour :
"Soldats, vous n'êtes pas sans savoir qu'une flotte contenant plus d'un millions de Tueurs s'approchent de notre planète. Hélàs, cette flotte est 100 000 plus puissante que la notre et se compose essentiellement d'étoiles de la mort. Nous ne pouvons rien faire contre eux. C'est pourquoi, si nous voulons que le Peuple Terrien continu d'exister, nous devont abandonner la Terre et ses habitants. Ceux qui refusent le départ et veulent rester pour combatre-ou devrais-dire pour mourrir-, peuvent le faire, je ne les en empêche pas. Pour les autres, prenez place dans les vaisseaux."
Dans un brouhaha énorme les soldats commencèrent à embarquer. Mais le premier soldat, celui qui allait embarquer le premier, s'arrêta soudain, empêchant toutes progressions. Les autres soldats commencèrent à paniquer, croyant aprecevoir un traître bloquant le passge, mais il leur fit signe de se taire et s'adressa à Tomson :
"Les Pilotes qui sont partis il y 30 minutes, que vont-ils faire?"
Et là, tous se retournèrent vers leur lieutenant et attendirent sa réponse. Au bout de 5 minutes, Tomson leur dit:
"Ils sont partis en héros essayer de retarder le plus possible l'avancée des Cranosto pour nous laisser une chance de fuire. Ils sont tous partis en sachant très bien qu'il n'y a aucune chance pour qu'ils s'en sortent. Mais si par un hasard extraordinaire, l'un d'entre eux s'en sort, il connait le point de ralliement. Et maintenant, veuillez monter, il ne nous reste que peu de temps."
A ces mots, les soldats applaudirent leurs sauveurs partis à la mort, et avancèrent dans la flotte.
"Avons nous une chance de nous en sortirent indemn?" s'enquit un des capitaines.
"Je l'espère, mon chèr, je l'espère. Seul l'avenir pourra nous le dire".
Abandonnons nos fugitifs queques temps et passons aux Pilotes.
Ramski, chef de corps, après avoir écouter le discour du Lieutenant Tomson, scanda haot et fort le cri de guerre (Aye que tous ces trata Lieuntenant ! pour ceux qui auaient oublier) et courut à bord de son croiseur. Le décollage se passa sans aucune difficulté, et il commença a donner les instructions de vols à son corps. En à peine 1 heure de vol, les 5 000 croiseurs avaient atteints le points d'interceptions calculé par les scientifiques Rebelles. Mais il n'y avait rien. Ils vont sans doutes arriver.
Mis pourtant, au bout de 3 heures, toujours rien. Ramsky commençait à sentir la pression monter tout le long de son corp. Il le sentait, il le savait, il allait perdre patience. Il allait engager son moteur principal, quand soudain un bruit ahurrisant se fit en tendre.
"Qu'est-ce que sait?"entendait-on paniquer les Pilotes.
"Regarder, là-bas! Je veux dire à 8h!"
"Ils arrivent"pensa Ramsky, mais il savait qu'il étaitinutile de de le dire aux autres : tous l'avaient déjà compri. Après 10 minutes, le petit point de lumière au loin se rapprochant et devenait de plus e plus inquiétant, terrifiant, au fur et à mesure qu'il grossissait. Bien qu'elle soit encore à des centaines de kilomètres de leur position, les pilotes apercevaient déjà les premières étoiles de la mort. Tout à coup, un bruit assourdissant éclata sur la gauche de la flotte Rebelle. Ramsky se retourna et aperçut alors les débris d'au moins cent croiseur. Ils avaient ouvert le feu.
"Comment font-ils? On ne peux même pas les verrouillés !"
C'est alors que le commandant donna le second ordre de la journée.
"Engagez les réacteurs à combustion, pleine puissance !"
L'ordre de mourir venait d'être lancé. Ramsky lança son croiseur à la suite des autres, puis ....
Quand Ramsky reprit conscience, il se trouvait en plein millieu du champ de bataille. Il était cependant dans une sorte de torpeur, maintenu éveillé par ce qu'il voyait : des dizaines d'étoiles de la mort ouvrait le feu, crachant des centaines de milliers de croiseurs, chasseurs et autres vaisseaux de guerres contre eux. La première chose qui lui vint à l'esprit quand il eut reprit le contrôle de ses actes fut "Comment ai-je fais pour ne pas mourrir ?".
"Corps 753, répondez moi. Rassemblement en zone 356, je répète, rassemblement en zone 356" scanda-t-il.
Un fois sur place, ses quatres collègues l'attendaient déjà (un Corps est constitué de 5 Pilotes).
"On va lancer une offensive sur la première edlm à notre portée. Jones, Dupuis, vous prenez les crooseurs du bas! Henry, Ricardo, vous nous couvrez! Moi je me charge des armes principales! Go!"
Ils volèrent en formation pendant 5 minutes, puis chacun partis sur sa cible. Ramsky perdit le cotact visuel avec ses camarades, mais resta concentré sur les armes. Ayant déjà parcourut plus des trois quart de la distance sans rencontrer de difficulté, il pensa alors qu'il pourrait détruire le système d'armement facilemnt. Il verrouilla la cible, puis tira sa bombe au plasma. Mais rien ne se produisit. Leur bouclier était beaucoup trop puissant.
"On ne peut rien contre une telle puissance..."
Tout autours de lui, il ne voyait que débris et corps sans vis flottant dans l'immensité de l'univers. Il tenta une nouvelle approche mais fut intercepter par trois crusaider, vaisseau de base de la flotte ennemi. Il entrepri alors d'habile manoeuvre et détruisit sans problème ses adversaires. Il ne s'apercut pas que l'un des canons gravitationnele d'une edlm pointait sur lui. Quand il s'en rendit compte, il était trop tard. Elle avait ouvert le feu. Tourte la vie de Ramsky lui passa devant les yeux en une seconde, il pensa à ce qu'il devait faire, ou ce qu'il n'avait pas fait. Il pensa aux autres ,à ses amis, à ses enfants, à ça femme.
Tomson eut un drôle de pressentiment. Quelque chose allait se passer, il le sentait tout au fond de son être. Un frappement à sa porte le sortit de sa réverie.
"Entrez" dit-il d'une voix lassé.
"Bonjour Lieutenant!"
C'était le capitaine Andrew, Pilote à qui Tomson avait refusé la participation à la Dernière chance car "c'est une pièce clef du commandemant de la Rebellion".
"Que puis-je faire pour vous, Andrew ?" lui demanda le Lieutenant.
"Monsieur, je n'irais pas par quatre chemin. Je désir vous entretenir d'une chose importante à mes yeux. En fait, il s'agit d'un tr..."Mais il fut interrompu par l'alarme du vaisseau.
"Alerte! Flotte non-identifié en approche!"cracha la voix du micro, semblant sortir de nul part.
"Je crains que nous devions reporter cette conversation, mon cher Andrew" annonça calmement Tomson.
"Mais je ..." tenta de dire le capitaine
"Il n'y a pas de mais. Retournez immédiatement à votre poste." L'interrompit Tomson.
"Bien Lieutenant."
Sur ce, le capitaine Andrew sortit en courant, et bientôt Tomson lui emboita le pas. Arrivé au poste de pilotage du vaisseau, il s'empressa de prendre les nouvelles. Le commandant en second s'avança vers lui et lui dit d'un ton nerveux:
"Je crois que nous avons de gros problème. La flotte qui se dirige droit sur nous est une flotte Cranosto. Elle est composé de traqueurs. Comme si ils avaient été au courant de nos intentions de vol, notre flotte."
Comme si !!! Pensa le Chef. Tu sais aussi bien que moi que cette mission était risqué!
" Cela ne peut pas prevenir de l'un d'entre nous. Les seuls personnes au courant de notre itinéraire sont les Officiers, et ils ont tous été "Testé"." stipula un Capitaine.
"Il a raison" déclara le commandant en second,"impossible que ça vienne de l'intérieur".
"Vous avez raison" lacha Tomson,"mais que cette conversaton reste entre nous. Il ne faut pas que les Soldats paniques en croyant de fausse accusation. Ils s'accuseraient tous mutuellement!"
"Bien Lieutenant!" sacandèrent tous ceux qui était présent à cet instant.
"Nous sommes d'accord. Le temps n'est plus aux discussions hasardeuses. Nous avons une bataille à mener!"
voila l'histoire qui vien d'etre publier, dans la collection forum 007
en texte presque integrale
il y a moin de faute et le texte est en italique
j'espere que l'histoire va bientot sortir
en collection
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